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Le pouvoir politique et les dirigeants du Comité international olympique peuvent dire merci à l’institution militaire. Sans elle, le « trou dans la raquette » aurait été trop grand, alors que ces JO vont se dérouler dans un contexte sécuritaire inédit depuis la fin de la guerre froide, et que l’incertitude plane quant à l’état du pays après le résultat des élections législatives du 7 juillet. Alors que les par une activité en hausse, notamment due à l’augmentation de l’ensemble des indicateurs de la délinquance en 2023, , confesse au JDD un haut fonctionnaire.