NICOLAS DI FELICE
CHEZ COURRÈGES
rançoise Hardy était l’égérie d’André Courrèges, qui l’a habillée au début des années 1960 de ses petites robes aux lignes pures, de ses jupes mini, de ses vestes en vinyle et de ses bottes en cuir blanc mi-mollet. Des must de la génération « Salut les copains » que l’on retrouve