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Pour y voir plus clair dans le suivi des sortants de prison, la DGSI et le service national du renseignement pénitentiaire viennent d’achever, en avril dernier, un travail statistique, estiment les analystes. Selon le renseignement, les marqueurs de radicalité sont chez eux et pour la plupart inscrits dans . Autrement dit, face aux moyens limités de surveillance physique – il faut compter une vingtaine d’agents pour suivre 24 heures sur 24 un seul individu –, l’effort doit se porter sur les sortants de prison TIS, dont les profils les plus aguerris, , inscrivent leurs projets criminels à long terme.