S’il renvoie à un roman de Louis-Ferdinand Céline, le titre aurait aussi pu correspondre à la descendance d’un autre monstre sacré de la littérature du XX siècle : Marcel Pagnol. Alors que l’on fête, en 2024, le 50 anniversaire de sa disparition l’écrivain provençal fut bien malgré lui sous les feux de l’actualité l’an dernier, avec une polémique dont on se serait volontiers passé : propriétaire depuis plus de trente ans du château de La Buzine – soit le modèle du –, la mairie de Marseille annonça reprendre la gestion des lieux, jusqu’alors confiée à l’association du petit-fils de Marcel, Nicolas Pagnol. C’est à ce moment-là qu’en raison d’un emballement médiatique digne d’une défaite de l’OM le grand public découvrit celui qui entretient la mémoire familiale. De ce feuilleton, nous avons convenu de ne pas parler avec notre homme – très remonté, mais comment ne pas l’être précise celui qui, s’il n’a pas été élevé dans le culte absolu de son ancêtre, se rendait intuitivement compte que ce dernier Ne serait-ce qu’en raison de quelques dictées… Un lieu où l’on a notamment cultivé… des œillets (souvenez-vous de et de ).
