Paris, le 5 mai
C’est elle qui a prévenu les secours depuis le camp de Biscarrosse, dans les Landes. Depuis, Soraya Miranda, qui se faisait un devoir de rester dans l’ombre, a été brutalement propulsée dans la lumière. En souffrance après cette surexposition, mais décidée à ne pas 2014 a livré sa version des faits au . “J’ai juste entendu le bruit. […] Je me suis précipitée et quand je l’ai vu blessé, le temps s’est arrêté, c’est comme si le monde s’écroulait. […] J’ai d’abord eu très peur pour sa vie, [été] sous le choc, puis stressée et dans l’incompréhension, mais jamais en colère”, martèle Soraya, qui dément être une victime de “violences psychologiques” comme l’ont affirmé certains médias.