POLARSR. J. ELLORY
Il prend son temps, R. J. Ellory. Toujours. À chaque roman. Autour de 500 pages. Souvent plus. Au début de sa carrière, il profitait de cette ampleur romanesque pour multiplier les rebondissements. est de ces romans qui se déploient pour mieux enfermer les personnages dans le décor peu commun des Appalaches, montagnes dans l’est des États-Unis, là où vit une population qui ne regarde pas ailleurs et qui n’apprécie pas qu’on lui cherche des poux dans la gamelle. Ça traficote, et ça tue tranquille.