A l’arrivée du grand prix suivant à Austin, c’était fait. McLaren était devant Aston Martin au championnat et allait s’échapper inexorablement. Le résultat d’une remontée fulgurante grâce à un gain de performance que l’on ne croyait plus possible dans la F1 moderne avec un règlement technique très contraignant et un budget plafonné interdisant des développements trop coûteux. A Monaco, au retour en Europe de la Formule 1, McLaren accusait plus de 100 points de place au championnat des constructeurs, avec à la clé plusieurs très belles places d’honneur, et engranger 285 points du Grand Prix d’Autriche à celui d’Abu Dhabi, scorant à chaque course.
