Paris Match. Avec une mère danseuse, vous étiez fait pour ce métier.
Jiri Kylian. En fait, il était assez inhabituel pour un garçon, en Tchécoslovaquie, d’étudier la danse à cette époque. D’ailleurs, je souhaitais être acrobate ! L’école de cirque a fait faillite et ma mère m’a poussé vers le ballet. Et, une fois que j’y avais goûté, je ne pouvais plus m’en passer.