De la Mésopotamie à la Rome antique en passant par l’Égypte et la Grèce, le serpent parcourt les cultures de ses mythes multiples… Il est arrivé chez Bulgari en 1948 sur une montre tout or dont le bracelet galbé et ultra-souple s’enroulait trois fois autour du poignet grâce à son célèbre tubogas. Au cours des années cinquante et soixante, la silhouette apparaît plus réaliste, la peau et les écailles offrant aux artisans de la Maison un extraordinaire terrain de jeu créatif., dans les studios de Cinecittà à Rome en 1962, affiche à son poignet une montre en or et platine, pavée de diamants et d’émeraudes. Depuis soixante-quinze ans, Bulgari enrichit sa collection de pièces somptueuses exaltant son savoir-faire unique. Parmi elles, les Haute Joaillerie, des montres à secret qui cachent dans leur cadran pavé de diamants le calibre Piccolissimo, le plus petit mouvement mécanique du marché. Le serpent, une créature mythique qui ne cesse d’hypnotiser et se régénère sans cesse.
