ès son premier livre, « Dernière nuit à Montréal », paru en 2009, la romancière canadienne nous avait autant épatés qu’intrigués. Dans ce polar étrange, un père, qui avait enlevé sa fille de 7 ans pour la protéger de sa mère vraiment pas d’aplomb, tentait d’échapper au détective lancé à ses trousses. Une folle cavale où s’invitait une galerie de personnages à la marge. Cinq ans plus tard,
EMILY ST. JOHN MANDEL LES POSSIBILITÉS D’UNE VIE
Nov 16, 2023
2 minutes
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