Près de 3,5 millions d’hectares de forêt détruits, des dizaines de milliers de personnes évacuées, des fumées qui se propagent jusqu’aux États-Unis… a-t-il indiqué. Jusqu’à présent, la gestion de la catastrophe par le Premier ministre canadien, qui était hier en visite à Kiev, ne semble pas remise en question. Mais si juillet et août se révélaient aussi terribles qu’annoncé, alors le chef de gouvernement, depuis huit ans au pouvoir, pourrait être bousculé davantage. Notamment, comme le pressentent les autorités, si les effectifs militaires venaient à manquer pour renforcer les soldats du feu débordés, eux-mêmes déjà appuyés par des pompiers du monde entier.
LE PREMIER MINISTRE CANADIEN ENTRE DEUX FEUX
Jun 11, 2023
1 minute
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