n 1955, lorsque Jean Rédélé a confié la construction de l’A106 (sur la base d’une Renault 4CV) à la célèbre carrosserie Chappe et Gessalin, il ne se doutait pas que près de soixante-dix ans plus tard, sa marque deviendrait électrique. Ni que la première Alpine zéro émission de l’histoire serait la réinterprétation d’un modèle des années 70 et qu’elle serait environ deux fois plus lourde (la Renault 5 Alpine de 1976 ne pesait que 840 kg). Aujourd’hui, la marche de l’électrique paraît haute pour un constructeur qui a façonné son image sur la légèreté et la sportivité de ses modèles. Mais les hommes de la marque au A indique Robert Bonetto, le directeur de l’ingénierie d’Alpine.
