L’entretien débute de manière inattendue. En effet, Florian Huettl nous accueille dans un français parfait (il a passé de longues années dans le groupe Renault), à l’extérieur du bâtiment directorial de Rüsselsheim, en Allemagne, devant une Astra… Electric, qui n’est pas encore commercialisée. Fier de ce nouveau modèle, il nous vante sa batterie de 54 kWh, son autonomie d’environ 420 km, avant de nous inviter à bord pour une balade d’une grosse demi-heure. L’occasion, évidemment, de chanter les louanges de ce modèle : “C’est une voiture basée sur une plateforme multi-énergie. Visuellement, il n’y a aucune différence avec les autres motorisations. C’est une Astra. C’est un choix très clair, que l’on a déjà fait sur la Corsa ou sur Pour lui, cette forme de banalisation a de nombreux avantages : Nous prenons la route, et Florian Huettl ne manque pas de souligner le silence de “son” Astra Electric, mais aussi son typage à l’allemande : Cette vitesse de pointe, n’est-ce pas inutile aujourd’hui pour une voiture électrique ?
