Le Journal du dimanche

SOUDAN

Abdel Fattah al-Burhane, ainsi que ceux des paramilitaires emmenés par son rival pour un cessez-le-feu, alors que les combats se poursuivaient hier à Khartoum, comme chaque jour depuis le 15 avril. Les habitants de la capitale, pris sous d’intenses bombardements, restaient hier sans eau ni électricité, avec très peu de réserves en nourriture et en argent. Quelque 700 personnes sont mortes depuis le début du conflit, 335 000 ont été déplacées.

Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.