Ces mots forts, Lyna Khoudri les a prononcés en 2017 en recevant son prix de meilleure actrice (section Orizzonti) à la Mostra de Venise pour, de Sofia Djama. Ils préfiguraient une filmographie tournée vers un cinéma engagé qui sied bien à la comédienne franco-algérienne élevée dans une cité d’Aubervilliers. Comme (2019), de Mounia(2022), de Rachid Bouchareb, dans la peau de la sœur de Malik Oussekine, l’étudiant tué par la police en 1986, ou encore (2019), d’Olivier Nakache et Éric Toledano, sur une association accompagnant des autistes.
DOUCE RÉVOLTÉE
Mar 12, 2023
2 minutes
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