Jacksonville (Etats-Unis), le 20 décembre
Dès l’âge de 18 ans, elle entame ainsi une correspondance avec un condamné à mort plus âgé, avec conviction et engagement. “D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été contre la peine de mort. Je détestais les histoires de guillotine dans les cours d’histoire à l’école primaire. Je ne comprends pas que l’on puisse programmer la fin de vie de quelqu’un, quoiqu’il ait commis”, explique-t-elle. Quelques années plus tard, alors qu’elle étudie les langues à