Passons un dimanche apaisé : parlons corrida. Pour une activité qui concerne si peu de monde, quel talent pour agiter les foules ! Et créer au passage de bien curieuses alliances puisque l’on voit marcher désormais sur le sable des arènes le boboland hédoniste au bras du païen civilisationnel.
Que le boboland hédoniste puisse trouver dans ce « spectacle » une liturgie