Ce dernier né de l’ingéniosité linguistique suédoise désigne la honte de prendre l’avion. Un sentiment de plus en plus courant dans un pays où la prise de conscience climatique est particulièrement répandue. S’il a pu être caricaturé, ce mot désigne une réalité indéniable : emprunter la voie des airs compte parmi les actes les plus intensifs en carbone au niveau individuel. Un simple vol Paris-New York produit ainsi près, brûlant d’une traite la moitié du budget carbone individuel à ne pas dépasser chaque année pour respecter nos objectifs climatiques.
Compensation carbone : trop beau pour être vert
Oct 12, 2022
2 minutes
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