LA FÉE ÉLECTRICITÉ APPORTE UN PUNCH IMMÉDIAT ET GOMME LE LÉGER CREUX DU V8 SOUS 2 500 TR/MN. RÉSULTAT, ÇA POUSSE FORT DU RÉGIME DE RALENTI JUSQU’À 7 000 TR/MN SANS LE MOINDRE TEMPS MORT.
LES GRONDEMENTS DE BOMBARDIER DU V8 QUI OUVRE SES VANNES ET SA SONORITÉ CHANGEANTE AU‑DELÀ DE 4 500 TR/MN INCITENT À ALLER TITILLER LA ZONE ROUGE.
regrette Greg au moment d’installer ses bagages. La marche formée au fond de l’espace de chargement qui ampute sa contenance de 121 litres rappelle que la Mercedes-AMG GT 63 S n’est désormais disponible qu’en hybride rechargeable, affublée de l’estampille « E Performance ». Le volume restant suffit heureusement à caser nos affaires ainsi que le câble de recharge. Le trajet essentiellement autoroutier qui nous emmène d’abord vers le cap Gris-Nez nous montre vite qu’il sera inutile lors de notre périple. Non pas à cause du manque d’infrastructures à disposition sur le réseau (quoique…), mais en raison de sa batterie qui se régénère rapidement pour peu que son conducteur sollicite souvent le freinage aux dimensions XXL. En outre, l’autonomie électrique limitée à 12 km (!) rend les gains en consommation anecdotiques dans la vraie vie. Alors, quel intérêt à ajouter pratiquement 240 kg à la précédente GT 63 S accusant déjà plus de 2 tonnes pour économiser aussi peu de sans‑plomb ? Passer sous le radar