I. Allegro moderato
e mouvement le plus dense jamais écrit par Bruckner s’ouvre, dans la pénombre et l’indétermination tonale, sur un motif dérivé du premier thème de la de Beethoven qui alimentera le reste de l’œuvre. Basé sur le rythme brucknérien du « deux plus trois », le deuxième thème, ascendant et lyrique, conduit au troisième,. Après un silence lugubre, le mouvement s’achève en mineur dans le murmure blafard de l’« horloge de la mort » (Bruckner).