a coiffe des soldats de la garde royale britannique n’est pas seulement d’une esthétique contestable. Elle cause aussi la mort de centaines d’ours par an. Plusieurs associations militent depuis des années pour épargner le plantigrade canadien à l’origine de la fourrure du chapeau. En avril, un Français, Christopher Sarfati, est à son tour allé plaider sa cause à Westminster. Dans ses bagages, une fibre offrant un toucher, une résistance au froid, une imperméabilité comparables à
