Envoyé spécial Montevideo (Uruguay)
Calebasse de maté à la main et Thermos d’eau chaude sous le bras, Gonzalo est venu très tôt ce mercredi-là au Gran Parque Central, le stade du Nacional de Montevideo. Depuis la tribune principale de cette enceinte ayant accueilli le match d’ouverture de la Coupe du monde 1930, ce supporter de 37 ans ne rate pas une miette de l’échauffement de Luis Suárez. Comme beaucoup, il « n’arrive toujours pas à réaliser » qu’un joueur de ce calibre ait « choisi de revenir dans l’institution qui s’enflamme-t-il.