ALLÉLUIA ! LA MUSTANG RESTE LA MUSTANG

Droit au but. La Mustang septième du nom récupère les deux mécaniques qui animaient la précédente génération, légèrement remaniées certes. Il s’agit, pour qui l’aurait oublié, du 4 cylindres 2.3 Ecoboost (310 ch sur l’actuelle mouture) et du V8 5.0 dépourvu de turbo, lequel délivre désormais aux alentours de 500 ch sans plus de précision à cette heure (450 ch sur la Mustang en circulation). Seul le V8 fera le voyage jusqu’en Europe, avec pour unique compagne la boîte automatique à 10 rapports. Le cadre posé, la rumeur faisait état, il n’y a pas si longtemps encore, d’une possible hybridation de la Mustang. Elle avait tort, la rumeur. Il n’y a pas l’ombre d’un électromoteur appelé en renfort sous le capot de la nouvelle Mustang. Cela ne se fait plus guère de nos jours.

On l’aura compris, la muscle car américaine adhère au parti conservateur. Au même titre que les moteurs, la plate-forme reprend du service, ce qui n’interdit pas quelques menues évolutions du côté de la suspension et de la direction. Et puis, il suffit de la regarder, la Mustang des temps modernes. Les mauvaises langues évoqueront un simple restylage, et il faut reconnaître