l a fallu deux mois au Premier ministre albanais pour reconnaître mercredi que son gouvernement avait été agressé par une puissance étrangère. En a tweeté hier Edi Rama. Allusion au soutien de l’Otan, dont le pays est membre depuis 2009, et aux sanctions immédiates prises par les États-Unis cette semaine contre le chef des services de renseignement iranien, Esmaïl Khatib, responsable selon Washington de cette attaque. Proche de la Turquie du président Erdogan et d’Israël, ex-catholique de gauche, Edi Rama, au pouvoir depuis huit ans, semble parti pour jouer les prolongations contre le régime des mollahs.
LE PREMIER MINISTRE ALBANAIS ATTAQUÉ PAR L’IRAN
Sep 11, 2022
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