L’étoile qui file un mauvais coton
C’est peu dire que le fan de tennis anglais aborde la quinzaine enchanté. Andy Murray, finaliste à Stuttgart, s’est refait la cerise au bon moment, juste avant son 14 Wimbledon. Et puis il y a le second d’Emma Raducanu, envi - sagé telle une promesse sucrée. Il y a un an, jeune fille en pleurs, elle avait ému le pays en quittant le Centre Court, de finale d’un tournoi qui venait d’ouvrir son compteur victoires. Avant, bien vite, de bluffer le monde en soufflant sur l’US Open. Pas un set perdu sur la route de la gloire et des rappels à l’Histoire : première Britannique sacrée en Grand Chelem depuis quarante-quatre ans, première joueuse issue des qualifications à pareille fête. De quoi la propulser, à tout juste 19 ans, personnalité sportive de l’année selon la BBC, devançant le boxeur Tyson Fury ou encore le footballeur Raheem Sterling. Jeu élégant, visage solaire. Une star était née.
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