Patrice Jean a dû faire une drôle de tête l’hiver dernier en voyant le succès qu’a eu Abel Quentin avec son. Cette reconnaissance critique n’aurait-elle pas dû lui revenir à lui, Jean, qui a creusé avant Quentin cette veine à la fois néo-hussarde et post-Houellebecquienne mettant en scène des intellos paumés dans le monde moderne ? Après , et , Jean continue d’écrire ses évangiles mélancolico-sarcastiques avec où il brosse le portrait crépusculaire d’un intellectuel qui emprunte quelques traits à Guy Debord.
En quête d’esprit
May 02, 2022
1 minute
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