La firme britannique, fondée en 1984, a fait sa renommée dans le sport auto (BTCC, WTCC) et travaille depuis de nombreuses années en tant que prestataire (châssis, transmission, électrification, défense nationale) auprès de multiples marques ou organismes. Il y a trois ans jaillit Sous cette jolie robe, des dessous de 550 Maranello (châssis acier). L’empattement est conservé mais les amortisseurs pilotés Bilstein dégagent, au profit d’Ohlins passifs. Les épures de suspension sont des doubles triangles aux quatre coins. Comme la SWB est plus légère que la 550, ressorts et barres antiroulis ont aussi été modifiés. , précise Nic Rutherford, ingénieur en chef du projet. En parlant de moteur, RML a le bon goût de conserver celui de la voiture donneuse. Le V12 5,5 l de 486 ch (avec boîte transaxle) est relié à un nouvel échappement qu’on nous promet très permissif et joyeux. Comme la plate-forme supporte une carrosserie en composite, on pensait que le poids allait flirter avec les 1 400 kg. Hélas non, et la SWB revendique 1 725 kg à la pesée. La production, limitée à 30 exemplaires, débuterait bientôt, sachant que RML annonce au moins six mois de fabrication et une capacité de production de six voitures simultanément.
C’est dans les vieux pots…
Mar 25, 2022
2 minutes
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