Le Journal du dimanche

UN BEAU SALAUD

Il s’était toujours montré méfiant vis-à-vis des acteurs qui expliquaient à quel point ils avaient eu du mal à s’extraire de leurs rôles. Jusque-là, un simple lancé en son for intérieur et un passage chez le coiffeur pour retrouver sa tête suffisaient à Gilles Lellouche pour se défaire de ses personnages. Mais ça, c’était avant de devoir se glisser dans la chemise de François Mercier qui, dans le Paris occupé de 1942,Adieu monsieur Haffmann explique le comédien, désormais plus détendu.

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