FABIO QUARTARARO “JE NE VEUX PAS M’ARRÊTER LÀ”
u matin de ce dimanche 24 octobre qui a fait de lui le 28 champion du monde en classe reine de l’histoire des Grands Prix, mais surtout le premier Français, Fabio Quartararo était loin d’imaginer qu’il allait chavirer de bonheur à l’arrivée du Grand Prix d’Émilie-Romagne. Pour la première fois depuis ses débuts en MotoGP, il n’avait pu accéder à la Q2. Recalé en Q1, quinzième sur la grille de départ alors que Francesco Bagnaia, dernier pilote à pouvoir lui barrer la route du titre, s’installait en pole position… L’affaire semblait mal engagée. Deux journées d’essais perturbées par la pluie, il n’en fallait pas plus pour dérégler le chef de file du championnat. Pas de quoi paniquer non plus. Avec 52 points d’avance au classement général à trois épreuves de la fin de la saison, Fabio Quartararo n’avait en effet aucune raison de s’affoler. Pour le pilote Yamaha, l’objectif était dès lors d’assurer une place dans le Top 7 afin d’être en capacité de jouer une deuxième balle de match dans de meilleures conditions au Portugal. C’était sans compter sur la chute de Bagnaia. Solide leader, le pilote Ducati menait la danse depuis le départ quand il est tombé à cinq tours de l’arrivée. Parti, comme Jack Miller, avec le pneu avant dur, l’Italien a subi le même sort que son coéquipier. expliquera-t-il. Bagnaia hors jeu, Quartararo était assuré d’être couronné à l’arrivée de
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