Prodiges sonores
n pour les , et saluait en mars dernier () la conclusion d’une intégrale Prokofiev entreprise en et (avec les deux versions de son finale) en étaient un autre sommet. Les trois Suites du ballet (enregistrées en 2005), la , celles tirés de la musique pour le film et de l’opéra complètent un parcours de haut vol, marqué par la limpidité, le soin porté aux contrastes dynamiques et à l’impact sonore. Les sonorités gorgées, rehaussées par des prises de son admirables, sont quelque peu une fin en soi dans les et dont le léger manque de hargne empêche le coffret d’être une incontestable référence. Mais en l’absence de Rojdestvenski, il n’y a guère mieux sur le marché depuis Neeme Järvi malgré l’afflux de versions récentes, parmi lesquelles l’intégrale Karabits (Onyx), concurrent le plus direct de Litton (en format CD cependant), n’a pas été mise en coffret.
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