Chaînes, gourmettes et maillons, signatures de la Maison depuis 1967, sont au programme de ce deuxième opus Haute Joaillerie totalement innovant. En effet, jamais un joaillier n’avait songé, ni osé intégrer des bijoux de son patrimoine», nous confie Vincenzo Castaldo, directeur artistique de la marque. Détournés de leur attribution première, ces bijoux vintage sont réinterprétés sur des parures de Haute Joaillerie, à l’instar d’un collier réunissant trois croix byzantines datant de 1993, 2003 et 2013 ; ou d’une croix en jais ouvragé des années 2010 sur des colliers Victoria ; sans oublier une maille carrée sertie d’un cabochon, ou totalement dépourvue de tout attribut. Détournés de leur attribution première, les pendentifs, boucles d’oreilles et bagues d’hier se marient aux parures de Haute Joaillerie d’aujourd’hui. Une réutilisation synonyme de réduction de son empreinte sur l’environnement. Une idée évidente pour une Maison qui s’engage, au côté du groupe Kering, en faveur du développement durable. « déclare Sabina Belli, P-DG de la marque.
