Darry Cowl L’éternel «petit canaillou»
Sa carrière au cinéma a si longtemps bégayé entre comédies ciselées et navets sans goût ni grâce qu’il dut attendre d’avoir dépassé les 75 ans pour gagner quelques récompenses. En 2001, il reçoit d’abord un César d’honneur, puis deux ans plus tard, un de ses derniers films, d’Alain Resnais, lui vaut celui du meilleur acteur dans un second rôle. C’était là une belle conclusion à une vie qu’il qualifia de « . La vie d’un clown jouisseur, qui aimait le jeu donc l’argent, l’alcool et le pastis
