RED BULLAUX COMMANDES
A Monaco, Hamilton n’était nulle part, ni aux essais ni en qualifications (contrairement à Bottas pour une fois). Et il n’a ), tandis que le Finlandais était victime d’un incident lors du changement de pneus, qui fut réglé… 43 heures plus tard. A Bakou, ce fut à peu près le même scénario, en pire, avec un Bottas inexistant, mais un Hamilton un peu plus en verve en qualifications après des essais critiques. Las, en course, un arrêt au stand trop long ne facilita pas la tâche d’Hamilton. Lequel se retrouva pourtant en position de l’emporter après l’abandon de Max Verstappen, dominateur jusque-là. Mais une erreur de manipulation sur son volant (répartition des freins) l’expédia dans une échappatoire synonyme d’un zéro pointé. Et comme Pérez avait pris le relais de Verstappen – ce pourquoi il a été engagé –, les gros points sont tombés dans l’escarcelle de Red Bull. Cela explique la prise de pouvoir des Autrichiens au championnat des constructeurs. La bonne nouvelle pour le suspense, c’est que Verstappen et Hamilton ont quitté Bakou sans qu’aucun des deux n’ait réalisé le petit break espéré au championnat.
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