La bonne qui aimait les courses
« Une écriture vigoureuse, imagée, flamboyante, et cependant patiente et lente »
première qualité de ce premier roman, , d’Olivier Hercend, est l’originalité. Ce n’est pas tous les jours qu’on vous raconte l’histoire d’une bonne qui, en Italie, en 1922, est devenue une championne de la course automobile. Zita, fille des aubergistes du village, sert chez Monsieur Leone, le notaire, revenu mutilé de la Première Guerre mondiale. Il ne peut se déplacer lui crie-t-il du siège arrière. La voiture avale les virages. Zita est réellement douée. Il annonce à ses parents qu’elle fera la course des moissons. Elle termine deuxième. Il décide alors de la lancer dans la compétition, non pas à ses côtés, son handicap le lui interdit, mais avec l’assistance d’Emiliano. C’est lui livrer la jeune fille dans son lit.
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