Concerto Köln, épisode 3
Après le legs enregistré chez Capriccio () et une partie de celui de Teldec (), voici les gravures du Concerto Köln parues de Vivaldi, les et les de Bach, de Handel… Un brillait sur les plus rares d’Avison d’après des sonates de Scarlatti : ils restent incontournables, tout comme l’anthologie de symphonies de Rigel qui pourra agacer par ses maniérismes mais constitue l’un des seuls portraits du compositeur (, , et de Haydn s’imposent également : le regretté Jean-Luc Macia saluait la réussite d’une lecture « sans aucune revendication virtuose », avec une Midori Seiler plus à l’aise techniquement que Carmignola, laissant transparaître inventivité et poésie (, ). Chez Bach, rien d’indigne ni d’indispensable. Le Concerto Köln est presque méconnaissable : la fougue qu’il déployait vingt ans plus tôt n’innerve ni ces pondérés, assez peu expressifs, ni ces sans grand parti pris.
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