SONY Tout pour l’hybride
Sur le papier, Sony a tous les atouts en main pour un règne sans partage : des boîtiers répondant à tous types d’usages et d’utilisateurs, une gamme optique en monture E déjà très fournie en interne et enrichie par une multitude d’alternatives tierces
(que ce soit avec ou sans autofocus, avec des focales ou des ouvertures exotiques) et des technologies très efficaces améliorées au gré des mises à jour de firmware auxquelles la plupart des boîtiers ont droit. Cerise sur le gâteau : durant la crise sanitaire, le constructeur a mis en place un sympathique programme de cours en ligne et d’entretiens avec des ambassadeurs lui permettant de se rapprocher de sa clientèle et palliant l’absence d’un centre de formation physique comme en possèdent Nikon, Canon et Leica. Malgré tout, de nombreux choix interrogent.
Sony a tout pour réussir, mais certains choix techniques et de communication interrogent
En premier lieu, maintenir simultanément plusieurs générations de boîtiers a de quoi semer la confusion. Cela permet, certes, d’offrir des modèles moins onéreux, mais le photographe peut se perdre dans son choix tant les nuances sont parfois subtiles. En APS-C ne subsistent par conséquent plus que trois produits : l’A6100, l’A6400 et l’A6600. Nous avons choisi de n’en conserver que deux dans ce guide, mais sachez que l’A6400 se trouve aux alentours de 950€. Du côté des hybrides 24x36, les Alpha7 de première génération viennent également de sortir du catalogue officiel, même s’ils continueront à être disponibles jusqu’à épuisement du stock. Mais, même à prix cassé, est-il bien raisonnable de s’intéresser à des modèles vieux de
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