SIGNE POSITIF
Au Brésil, le repentir de Volkswagen
allemand a annoncé mercredi avoir signé, cinq ans après les premières demandes des plaignants, un accord avec la justice brésilienne pour indemniser les anciens salariés de sa filiale au Brésil, son service de sécurité ayant collaboré avec le régime militaire (1964-1985) pour identifier de possibles suspects qui ont été personnes auraient été arrêtées. Selon l’accord validé par les autorités brésiliennes, VW paiera 5,5 millions d’euros de compensations aux salariés, à leurs proches et à des projets mémoriels. Le régime militaire brésilien, dont le président Jair Bolsonaro est un fervent admirateur, est responsable de la mort ou de la disparition d’au moins 434 personnes, et de la torture de 20 000 citoyens.
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits