Un vent mauvais
Apr 26, 2020
2 minutes
TERESA CREMISI
née à Damas il y a une soixantaine d’années. Samar – c’était son prénom – avait ce rire de gorge des belles Orientales. Si vive, si sympathique, elle était le médecin traitant préféré des habitants de Mira, petite agglomération aux portes de Venise. Amoureuse d’Omar, qui était syrien comme elle et pédiatre, elle l’avait suivi
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