Le visage du danger
Jan 26, 2020
3 minutes
MICKAËL CARON
LEON KUEGELER/REUTERS
y a eu des indices : d’abord un drapeau norvégien agité dans le fameux mur jaune, puis son nom prononcé par le speaker un peu plus fort que celui des autres remplaçants avant le coup d’envoi de Dortmund-Cologne (5-1), vendredi. Lorsque l’entraîneur suisse Lucien Favre a rappelé Erling Haaland vers le banc à l’heure de jeu, on a compris qu’on allait voir ce qu’on allait voir. Vingt-deux minutes plus tard, le phénomène norvégien avait
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