Café et apéritif, rituels sacrés
Gaspare Campari ne s’est pas contenté d’inventer la liqueur à laquelle il a donné son nom et dont la recette est toujours tenue secrète. Il a imaginé l’apéritif à l’italienne! Le Caffè Campari a ouvert dans la galerie Victor-Emmanuel II le jour même de son inauguration, existantes, à Seattle et à Shanghai – tableau d’affichage de style aéroport, café acheminé vers la machine à torréfier dans des tubes en cuivre puis moulu et préparé sous les yeux des clients –, en revanche, les matériaux sont italiens, comme le marbre du bar ou le porphyre du four à bois. Italiens aussi les et le tiramisu de Princi ou les sorbets d’Alberto Marchetti. A Milan, point de gobelet en carton, mais des tasses qu’on peut acheter à la boutique et un service à table. Starbucks a fait les choses en grand. La firme aurait investi quelque 20 M € pour réaménager les 2300 m de l’espace, qui propose également un bar pour faire la nique au Camparino, à l’heure de l’apéritif…
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