NOUVELLE SCÈNE
décrypte Julien Chaverou, directeur marque et produits d’alinea. Ainsi, parce que « prendre soin de soi » ne se limite pas aux murs de la salle de bains, un meuble en chêne Un parcours fluidifié, des univers décloisonnés, le reste est affaire de style, et la marque du Sud en a à revendre depuis qu’elle a intégré des designers. Si contemporanéité végétale et métissage culturel fertilisent l’offre annuelle, les collections sont renouvelées à chaque saison. L’occasion de deux scénographies dans la galerie d’exposition et les pop-up. Alors que l’hiver s’est piqué de poésie, avec la collection Réminiscence, et de haute couture, avec Grand Hôtel, le printemps appellera le voyage dès le 5 mars: direction San Remo, inspiré par les roses poudrés, les métaux martelés et les minéraux mouchetés, sur une vague rétro, légère comme la dolce vita ; puis Samarcande, avec ses tressages, bois précieux et céramiques bleus marins et beiges sablés qui composeront une palette orientaliste. Parce qu’alinea se plaît à inscrire sa personnalité dans l’espace, ses 7 000 références ont ouvert leurs horizons aux arts appliqués, déclinant une peinture monocouche en 13 teintes solaires et 5 ambiances végétales sur papiers peints intissés. Anniversaire faisant, des motifs exubérants seront aussi à l’honneur sur des séries limitées, tout en laissant place à des éditions collaboratives d’avril à octobre. Sur toute la ligne, du design aussi exclusif qu’inclusif.
